Lorsque j’ai appris qu’on pourrait télécharger des jeux originaux sur Wii,
j’ai demandé Where ?
Et bien voilà c’est fait depuis le 20 mai : LostWinds sur WiiWare. Poursuivre la lecture de «LostWinds, êtes-vous a-ware ?»
Archives pour la catégorie «Test»
Étant un des plus fervents fans et défenseurs de la série dans sa version « Vegas » ; Ubisoft aurait pu me refourguer le même jeu avec deux options et trois cartes en plus ; j’aurais été Heu-reux…
Mais non, il fallait qu’ils nous chient cette séquelle abominable. Poursuivre la lecture de «Rambo 6 Vegas, 2 la merde en lingot»
Six mois de retard pour un jeu ultra attendu (à une époque) et qui se dépêche de sortir avant le raz-de-marée Rainbow Six Vegas 2 ; voilà un premier indice sur la qualité du jeu. Poursuivre la lecture de «Army of Too Few…»
Voilà quelque temps déjà que j’en causais, mais, venant de finir la campagne solo, je me rends compte qu’il me faut revenir sur mes propos, ne serait ce que pour rendre justice au jeu.
Enfin, pas au jeu, à moi.
C’est vrai quoi, j’ai été vach’tement positif sur le biniou, et perfidemment, le scénario s’est retourné comme une veste de Mr Dutronc - ou d’Indochine, c’est selon - et maintenant, si je n’écris pas ce billet, j’ai le désagréable sentiment de m’être fait mettre en tube et ça, mon bon monsieur, j’aime vraiment pas (quoique, bon, techniquement, tout dépend du tube, Mayo, ça va encore).
Mais que se passe t il donc ?!
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Vous ne le savez sûrement pas - et vous n’en avez probablement rien à carrer - mais il ne s’en est fallu d’un rien, dans mon orientation professionnelle, pour que je ne devienne un sportif professionnel de haut niveau, catégorie belote. Pas la basque, hein, non, la vraie, l’unique, celle qui se pratique lors de la réunion Dominiquale - quand c’est ma mère qui reçoit, et ma mère, ben, elle s’appelle Dominique - du dimanche - il arrive aussi, parfois, que ma mère elle reçoive un autre jour que le dimanche, ce pourquoi je précise une réunion Dominiquale du dimanche, ce qui peut sembler, à tort, un noeud un peu fémisme, je l’avoue, je l’aveu.
Bref, une formation intensive par les grand-pères qui me prédestinait à devenir champion de belote, à suivre les grand tournois internationaux, à vivre de grand motels en grand motels, et à commenter le tout sur Canal+… Je m’y voyais déjà, à remporter prix sur prix, jambon à l’os, pâté forestier, boules de pétanque, perceuses… Et finalement, non, j’ai pris une autre voie, mais ça m’a quand même permis de faire de longues études, la belote, hein, et d’y briller autrement que par mes absences.
À ce point de la lecture, vous vous demandez sûrement quel est le rapport avec Expérience 112, à moins que vous ne soyez pas arrivé jusque là, étant un joueur de poker m’ayant snobé morvement dès l’apparition du mot Belote…
C’est bien simple, Micro Application, pour moi, c’était le genre d’éditeur bien dans son tiroir, à savoir les pauvres jeux de carte (Belote, Tarot, etc), les pauvres trucs routiers avec d’autre genre de cartes (atlas, permis de conduire, etc), voire les pauvres trucs tout court, mais toujours avec des cartes (impression de cartes de visites, motifs de canevas, etc), et là, qu’apprends-je, que vois-je, que jeux-je ?! Que Micro Application se lance dans le jeu d’aventure et qu’en plus, ça sort de sentiers battus comme des œufs en neige !
Allez c’est sur, il faut vraiment que j’essaye ça… en espérant qu’il y aurait bien un mini-jeu de belote à débloquer quelque part, qui sait ?
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Ou Call of Crysis, vous allez comprendre pourquoi (assez, enfin, relativement) rapidement.
Il y a quelques jours, de passage chez un pote, je tombe sur une toute belle boîte de jeux vidéo PC (ce qui est, disons le, pas si fréquent… Le succès de la plate-forme de téléchargement Steam, probablement). Le packaging flambant neuf fleure bon le récent petit Noël du gamer. Il s’agit de Crysis.
Perfide, je lui demande ce qu’il en pense. Perfide disais-je, parce qu’ayant assemblé sa machine il y a quelques années, je sais très bien que dans sa vieille tour moche e-star (son choix, à l’époque), il traîne, bien au chaud dans un quintal de poussière, un Athlon Thunderbird fréquencé autour du gigahertz, une GeForce 2 Pro et 512 Mo de Ram (si je me souviens bien). Ce qui déchirait à l’époque, si.
Verdict, impossible d’installer la bête, les 12 Go (et oui !) nécessaire à cette opération n’étant pas disponible, il cherche (mollement) une solution. Tel le chacal moyen, je le rassure gentiment en lui disant que ce n’est pas grave, que de toutes manières, ça ne tournera jamais sur sa machine, même en changeant de disque, oui, pareil pour la carte graphique, Vista n’aidera pas, non. C’est mort, c’est comme ça, faut changer de bécane, je sais, c’est dur, c’est moche, condoléances, tout ça. Poursuivre la lecture de «Crysis of Duty»
D’habitude je ne suis pas du genre à être fou des jeux sur console portable. Ils me servent souvent que de passe-temps fugace sur les trajets en métro, train ou avion (rayez les mentions inutiles). Il n’y a qu’un jeu portable que j’ai fini jusqu’au bout : Nintendogs.
Nan j’déconne, j’en ai fini aucun.
Poursuivre la lecture de «Zelda : Phantom Hourglass, trop stylet !»
Ah… le bon temps oucques je travaillais chez Cocktel / Sierra France, avec à disposition tout le catalogue de jeux de Cendant Software (j’ai pas dit que c’était récent !), à prix coutant, un prix que la décence (et l’instinct de survie) m’interdit d’évoquer publiquement.
Je papillonnais de droite à gauche, découvrant sans m’en douter des jeux qui allaient durablement marquer l’industrie du genre PC… Homeworld, bien sur, une relique d’entertainment. Half-life, auquel j’ai jamais accroché autrement qu’en multi-joueur, mais qui a fait bien des heureux autour de moi. Caesar III, que ma p’tite femme aimait bien pratiquer sans autre but que de gérer sa petite Rome pépère. Et Ground Control, enfin.
Quel rapport avec World in Conflict, me direz vous ? Très simple ! Pour ma part ça aurait très bien pu s’appeler Ground in Conflict, ou même World Control tant le gameplay est proche, ça ne m’aurait pas choqué. Et c’est heureux, hein, puisque c’est les mêmes gens qu’ont bossé d’ssus !
Poursuivre la lecture de «World (of not Warcraft) in Conflict !»
J’avoue, je voue une admiration quasi sans limite à Relic Enter-tènement… Déjà, quand je jouais à Homeworld, premier du nom, j’étais ébahi (et pour cause, sacrilège !), en transe, au rythme des bandes sons toutes plus parfaites les unes que les autres (au point, c’est vrai, d’en télécharger les mp3 par chez Relic, hé hé). C’est d’ailleurs à cette occasion que j’ai découvert un petit artiste montant, du nom de Samuel Barber, qui a fait deux trois autres trucs sympatoche avant de venir travailler sur une B.O. de jeux vidéo.
Bref, Relic, bien plus qu’Homeworld, c’est avant tout, pour moi, Company of Heroes (a-t-on vraiment besoin d’évoquer Impossible Creatures ? Quand à Dawn of war, malgré le succès du truc, j’ai jamais accroché) : LE jeu qui m’a réconcilié avec les jeux de stratégie temps réel. Lassé du gameplay qui n’a plus évolué depuis… Warcraft premier du nom, j’avais fini par ne plus prendre aucun plaisir à ce genre de jeu. Jusqu’à COH. Et d’autant plus apprécié qu’inattendu, puisque c’est le Greg qui m’en a parlé le premier, moi qui n’avait pas du tout suivi les évolutions du genre. Que d’heures j’ai passé depuis sur les champs de bataille, à faire soit la campagne, soit du skirmish…
Le temps a passé, les obus ont plu, Opposing fronts est sorti. Mon frangin, en manque d’action, se l’est offert mais, pour des raisons connues que de son laptop, ne peut l’installer. Il m’a donc gentiment prêté le bestiau en attendant de pouvoir s’en servir, je ne me fis donc pas prier pour lui faire plaisir. Et au passage, me dis-je, j’en tirerai surement un ch’tit article qui, une fois n’est pas coutume, sera totalement positif et sans aucune réserve, c’est sûr.
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Voilà, ça c’est ce qu’on appelle un putain de bon titre. L’essentiel du boulot est fait, on se doute que la suite va déchirer, bref, je pourrais presque m’arrêter là. Mais non (il me semble avoir entendu soupirer). La question est donc, acheter une Wii, là, maintenant, pour ce Noël 2007 (sous l’arbre donc, titre, humour), est-ce que ça vaut le coup ?
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