Ou Call of Crysis, vous allez comprendre pourquoi (assez, enfin, relativement) rapidement.
Il y a quelques jours, de passage chez un pote, je tombe sur une toute belle boîte de jeux vidéo PC (ce qui est, disons le, pas si fréquent… Le succès de la plate-forme de téléchargement Steam, probablement). Le packaging flambant neuf fleure bon le récent petit Noël du gamer. Il s’agit de Crysis.
Perfide, je lui demande ce qu’il en pense. Perfide disais-je, parce qu’ayant assemblé sa machine il y a quelques années, je sais très bien que dans sa vieille tour moche e-star (son choix, à l’époque), il traîne, bien au chaud dans un quintal de poussière, un Athlon Thunderbird fréquencé autour du gigahertz, une GeForce 2 Pro et 512 Mo de Ram (si je me souviens bien). Ce qui déchirait à l’époque, si.
Verdict, impossible d’installer la bête, les 12 Go (et oui !) nécessaire à cette opération n’étant pas disponible, il cherche (mollement) une solution. Tel le chacal moyen, je le rassure gentiment en lui disant que ce n’est pas grave, que de toutes manières, ça ne tournera jamais sur sa machine, même en changeant de disque, oui, pareil pour la carte graphique, Vista n’aidera pas, non. C’est mort, c’est comme ça, faut changer de bécane, je sais, c’est dur, c’est moche, condoléances, tout ça. Poursuivre la lecture de «Crysis of Duty»
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